Life in High Definition

Life in High Definition
Photo by Normand Duval

Friday 11 November 2011

The Dance of Life

I feel so trapped.....trapped in my body, trapped in my life, in my gender, in my role as a mother, sister daughter, spouse, friend...Trapped by inner restrictions, constrictions, shoulds, have tos, can’ts, shan’ts...

I want out! I want wings to fly high in the sky! I want to look down and never go back....I want to fly higher and higher, lighter and lighter, freer and freer....

Let me be!!! Damn you!! Stop telling me who and how I should be!!! Get off of me.... you weigh me down, you depress me!!!

YOU who tries to guide me and tell me what is right from wrong....you who tells me what I should think, what I should say, how I should act, react, like it or not.....
Fuck off leave me alone!!! Let me be!! Let me find my own way....let me feel myself!!! I CAN’T HEAR, I CAN’T FEEL WITH ALL YOUR VOICES IN MY HEAD!!! BACK OFF!! FUCK THE HELL OFF!!

I need space, I need room, I need nothingness, to see, feel and observe who I am....I want out.....I want to be alone....so I can be wild and free....and discover who I really am without all the labels, identities and masks....

Why so hard to just be one self... and why so important to belong? When all I long for is to be me all along?

Do I fear who I am will scare you or woo you? If I woo you I will have to carry you...and my weight is already more than I can bare.....If I scare you, you will run away or not be yourself around me....So best I just shoo you all away! 

Shoo shoo shoo shooo SHHHHOOOOOOO!!!! Off with you!!!

Ok!!!        OKAY!!!    YOU CAN STAY!!!

I will hear what you have to say....Just one at a time please... I want to hear and be present to your essence , what and who you are and what you represent to me...how you make me feel, vibrate and irate! Sure we all have a right to exist...you must understand however that my utmost desire and responsibility IS to exist...and at times I will do whatever it takes at any cost... to survive and exist in the moment....The most painful moments, make me want to run away, far away. The moments when I say who I am should go away....

I am here to stay.... sorry to say... No one and nothing can make me go away. Like it or not, hate it or not this is who and where I am; which is, ironically and thankfully (at times); most likely to sway. This too shall pass...so allow me this dance, this chance!  Yet how, when we are such opposites? Do I mind you stepping on my feet, you ask...hmm...well yes some....and yet I know we can get along. 

Tuesday 20 September 2011

Il était temps que je me réveille!!

Je viens tout juste de m’éveiller à une réalité de ma vie….un beau jour de septembre 2011 à 48 ans.
Je n’arrive pas à croire que j’ai gardé une image de qui je suis si erroné pendant si longtemps ?? Une image de mon identité à travers le schéma  de ma programmation : de ce que je devrais être en tant que femme et la façon que je devrait vivre ma vie.

À la fin de mes 16 ans je suis tombé amoureuse du père de ma fille. Nous avons vécu 8 ans de relation tumultueuse avec plusieurs ruptures et temps de séparation pendant lesquels j'ai vécu d’autres relations amoureuses. Cela suivis par 5.5 ans de mariage dont 2 ou3, je le partageais avec ses maitresses. Parce que c’était mon premier amour, première vraie relation ; j’ai interprété que ça devrait être celle de ma vie, qu’il devait être l’homme de ma vie ; parce qu’une bonne fille, tombe en amour, aime et fait l’amour seulement avec l’homme de sa vie. Je me demande si je suis resté accroché si longtemps ; par la force de cette empreinte génétique dans le plus profond de mes cellules et de mes gènes. Pourquoi retourner maintes fois après les rejets et ruptures douloureuses ; autre que l’idée romantique que c’était lui qui devait rester l’homme de ma vie ; le premier de mes princes charmants. Une façon de garder mon identité, virginité, et sincérité dans un même panier?  

Je ne connaissais rien d’autre comme possibilité de future que ce qui m’entourait ; le mariage à vie, les enfants, la famille, et le travail et on dirait que j’ai mis une partie de ma vie et de mon cerveau en auto pilote de suivre ce chemin prescris sans savoir ; ni penser à une alternative. Le vrai chemin de ma vie à était presque à l’inverse. Bien que jusqu’aujourd’hui ; et je n’ai jamais voulu vraiment le reconnaitre ; ce chemin que j’ai fait était milles fois plus moi et parfait que celui dont je m’étais prescris. Bien sure de mesurer mon succès de vie à celui auquel je pensais être condamné à : qui était le plus loin de ma nature et de ma liberté d’être moi ; rime seulement avec échec et défaite énorme.  


Si je réajuste ma vision, et je l’éclaircie de vérité, je vois très bien comment mon chemin, mes choix, mes parcours ce sont aligné vers un moi plus véritable et authentique. Quand j’efface le blueprint du parcours imposé et je vois le vrai trajet ; je vois un énorme succès !! J'ai eu plusieurs relations, 3 à long terme, je les ai toute vécu à fond, elles m'ont toutes fait du bien et aidé à faire sortir le mal, toutes mon transformé et m'aidé à arriver jusqu'ici; un moi plus authentique. Nul autant que celle avec Normand avec qui j'ai fait et continue de faire du millage en profondeur de coeur et d’âme...avec qui je me sens le plus chez moi, moi...lui je le garde pour longtemps, longtemps! Je m'ouvre un peu plus a ce parcours éblouissant...le chemin de ma vie de relation... 

Friday 19 August 2011

À la Recherche de l'Impossible Équilibre!


JE SUIS TROP!!! Trop intense, trop émotionnel, trop expressive, trop confrontante, trop différente, trop ouverte, trop transparente, trop réactionnaire!!!!!!!!!!!!!!!


JE NE SUIS PAS ASSEZ!! Pas assez ce que les gens voudrait de moi.....ce que je pense qui ferait plus plaisir....plus aimé....plus de bien aux autres...docile, gentille, douce, ‘agreeable’ en anglais, qui est en accord avec tout et tout le monde… agréable….harmonieuse... Ce n’est pas agréable pour personne d’être avec quelqu’un qui exprime, qui parle d’impuissance, de douleur, d’émotion, de comment elle se sent tout le temps!!!

Le monde entiers il me semble à part quelques exceptions …est dans le déni, de leur sentiments…..de comment ils se sentent réellement…ou qu’ils vivent même des émotions! Toujours en train de pousser vers une autre réalité…bien sur ce n’est pas confortable la réalité douleur et je suis souvent dans la réaction de vouloir la fuir comme la peste moi même! C’est moi en premier que je juge! On essais tellement de projeter une image de robot sans émotions…avec un sourire et parfaite disposition, surtout avec le traquenard du Nouvel âge….tout est beau tout est parfait…je dois être zen, harmonieuse et parfaite, je suis amour et lumière…..je suis paix et tranquillité….je suis confiance…..je ne doute pas…je ne ressens pas…je nettoie mes émotions au lieu de les vivres!!! J’ai tout essayé….je la haïe cette Ostie de Nouvel âge parce que j’y ai cru et je me suis planté! Et puis maintenant je suis entouré de cette philosophie!!…Quand j’y étais à fond je me sentais toute seule, une des seules dans mon entourage et maintenant que je n’en veux plus : j’habite dans la vallée de tout est beau et bon et j’accueille parfaitement la vie! Peut-être c’est l’âge, la période de la vie où on n’a pas trop le temps ni patience de se ressentir et on cherche un baume, parce qu’il y a autres choses plus pressente et importante qui tire plus fort à nos talons, comme des petits adorables qui eux prennent beaucoup de temps et de place pour exprimer ce qui est! Je dois avouer qu’il y en a beaucoup qui veulent vraiment se faire face et qui ont une grande volonté et dévouement d’ouvrir grands les yeux et le cœur même avec une maison remplie de mômes et je les adore et admire! Il y a en d'autre de tout age qu'ils veulent seulement s’évader et se réconforter sans trop regarder trop loin ni profond; je les aime moins et je les respecte, chacun son chemin et son survie à sa façon.


Aujourd'hui je me sens seule ….en dehors de mon couple….d’avoir découvert que ce qui me sert le plus finalement et ce que je choisie au-dessus de tous c’est de VIVRES mes émotions!! Je suis persuadé que de nier ses émotions donne le cancer….Même si ce n’est pas vrai et que moi aussi je pourrais aussi mourir du cancer comme ma mère, bien que j'exprime un ta,….je choisie de vivre mes émotions plutôt que de les enfouir et les cacher….C’est tellement vibrant une émotion…cette énergie en motion…é---»motion, que de la mettre sous terre, de l’enfouir ça crée des encore plus grand geysers qu’on puisse imaginer!!! Peut-être c’est juste moi…mon expérience…tout ce que j’ai enfouie se refoule plus fort et plus grand que ça forme originale! Ce que je résiste non seulement persiste mais prends aussi de l'élan.


Ma vérité, mon expérience que je n’ose pas trop en parler est que le monde est fait d’émotions…que l’émotion est le moteur de toute créativité….et non un Dieu tout beau tout puissant! C’est la haine du soi notre moteur!!! Ce qui nous motive d'avancer, de créer, de se dépasser! Ce n’est pas l’amour!! Ce n’est pas la lumière! Oui d’accord c’est bien l’amour en devenir…la haine qui se libère et se transforme en amour….l’impuissance qui cherche sa puissance….la noirceur qui est attiré vers la lumière! La vérité qui pousse le mensonge de sortir....Shhhhhh…..personne veut parler d’impuissance…..de haine….elles n’existent pas voyons!!! Pas en moi surtout!!! Je suis juste amour…pureté et virginité!!! C’est tout ce que je peux montrer….le reste je veux le cacher…des autres…mais surtout de moi…..Quel mensonge énorme et quelle vérité les deux…oui en dessous de tous les mensonges de mon impuissance il y a ma vrai puissance….en dessous de toute ma noirceur il y a le diamant que je suis…..sauf que dans cette vie….dans ce corps humain et assez dense merci….je suis venu pour l’expérience de la terre/boue, de la merde….de l’impuissance…..si non je serais resté où j’étais!

J’essaye tellement de m’en défaire de cette merde de sentiments d’impuissance, de peur, de doute, de mes émotions!! Soyons franc!!! JE SUIS COMME TOUT LE MONDE!!!! Je fuie mon impuissance et la vérité de mes sentiments…les vilains…les affreux…les honteux!!! Je les haïe et je ne veux pas leur voir la binette !!! JAMAIS!! Et partout où je vais….je les rencontres…nez à nez!! MERDE DE MERDE!!!!


Vous aimez mon mélange d’expressions québécoises et françaises? Non? Tant pis… c’est qui je suis….un gros mélange de tout plein de choses!!!!! Je ne suis pas juste amour….je ne suis pas juste haine…je ne suis pas que la force et la sérénité…je suis aussi faiblesse et chaos… comme la terre…comme les animaux…. la nature…..comme tous les humains…


J'ai fait un 180 je ne sais pas quand exactement ou peut être ça c'est fait graduellement.....et depuis j'exprime énormément plus...et j'ai peur énormément plus...parce que je vie un risque énormément plus. Le risque d'être trop et pas assez. Ce risque je peux le prendre de plus en plus, parce que je me sens valable et capable de plus en plus.


J’apprends de me choisir avant l’autre tout les jours un peu plus....j'apprends à m'écouter, à me laisser exprimer ouvertement : ce qui me terrifie à chaque fois!!! Pour savoir ce que je ressens il faut que je me le dise, il faut que ça sorte...il faut que je le vois, que je l’entende, que je le ressens....et je ne suis pas capable toujours...toute seule dans ma tête....je ne ressens pas l'ampleur du sentiment à moins qu'il soit libéré...et déclenché avec l'aide d'un autre, d'un échange....j'ai souvent besoin d'un autre ou des autres pour m'aider à me ressentir...


Je me sens seule... sauf avec mon Normand que je ne sais pas ce que je ferais si je n'avais pas quelqu'un qui parle mon langage, qui est aussi courageux, de ressentir, d'exprimer, de se montrer vulnérable comme moi avec moi.... Je suis seule depuis plus de 48 hres; une petite retraite en passant du temps qu'avec moi...seule distraction Facebook lol! oui je sais c'est tout un monde et toute une distraction!!! Je m'en sers en titi aussi pour me ressentir pour m'exprimer...


Le premier jour j'ai ressentie beaucoup de peur de toute la liberté et l'espace que je m'offrais....juste moi dans mon univers immédiat.... il a fallu que je remplisse le vide très vite et beaucoup....refaire un meuble, faire un grand ménage...passer beaucoup de temps sur l'ordi…ça m'a pris une journée pour relaxer, ralentir et m'ouvrir à l'abondance de ma présence, du moment juste pour moi avec moi.

En m'ouvrant plus à moi j'ai ressentie ma peur de perdre ceux qui me sont le plus chers, ayant moins besoin d'eux. Avec le départ immanent de Jenica pendant un an et Normand parti faire un petit séjour en moto en solo…j’ai eu très peurs de les perdre les 2 en même temps…d’être vraiment seule….dans le monde…Jenica je n’ai pas le choix…elle doit vivre sa vie et se servir de ses propres ailes….elle jouit tellement dans le défi de se faire face dans un monde inconnu pour ressentir sa liberté et sa volonté, et capacité....Elle m’aide à faire et refaire le deuil d’une partie de moi, de la maman, de l’enfant en moi à chaque fois…J’ai appris quand elle avait 3 ans la première fois; de vivre l'abandon et de grandir en même temps qu’elle, grâce ou non à la maudite ou bénite garde partagé! J’ai appris d’être un individu en dehors du rôle de conjointe et de mère, en même temps que d’être une maman…ce qui ne serait jamais arrivé si il n’y avait pas eu de divorce…je n’aurais jamais eu autant de temps à moi seule..


Sans Normand je ne suis pas prête…je peux quelques temps mais pas longtemps. J’ai très peur qu'il meurt avant moi…et je sais que ce défis là je vais le rencontrer aussi, que ça soit moi ou lui qui part avant…


D’être seule…en solitude ça m’aide de ressentir les places en moi qui expérimente la solitude tout le temps que je n’entends pas…


Autrement je vie maintenant un rythme de vie très lent, très tranquille; j’ai souvent le temps de me ressentir…du temps à moi dans chaque journée et j'y découvre tout un univers qui m'appartiens…2-3 jours complètement seule m’aide à ressentir ma solitude, ma liberté et d’apprécier encore plus le privilège de partager ma vie avec quelqu’un qui me va à merveille…


Le prix d'apprendre à me choisir, à m'aimer, à m’accepter, de me donner liberté d'être ce que je suis dans le moment....d'apprendre à me faire plaisir au lieu d'attendre que les autres le fasse pour moi...est : que je me ressens plus…surtout mes peurs…la peur de ne pas être ce que les autres veulent de moi…de finir toute seule isolé du monde entier. J’ai choisi d’être seule au lieu de me joindre à une fête que je savait serait très amusante…je me suis jugé d’être une recluse, de choisir ma propre compagnie à la place d’une multitude de personne que j’aime bien.. Je comprends maintenant que cela ma servie énormément, de rester avec moi..de me choisir…de me faire confiance que je suis plus importante…assez…qu’un beau party ben l’fun!  C’était un grand pas.


J’ai l’impression de prendre un risque à chaque fois que je prends un autre pas vers moi…le risque de m’éloigner des autres… de m’isoler….d’être seule à jamais….


Comme le dicton le cite, je crois réellement « qu’il vaut mieux être seule que mal accompagné ». Surtout; je choisie d’être fidèle à moi et ma vérité du moment plus que jamais.


J'ai l'impression que tout cela est bien décousue et je ressens aussi un gros soulagement de l'avoir pondu! 



Monday 25 April 2011

RIP Jésus Christ....c'est moi qui est en charge de ma vie maintenant....

Je questionne mon expérience de Jésus Christ ce matin dimanche de Pâques 2011.
J’ai eu la chance d’éviter une éducation religieuse parce que nous avons quitter la France et le petit village (et la belle Cathédrale de Prades) où mes parents suivaient les mœurs comme tout le monde. En arrivant au Canada le survie de tout les jours dans un monde complément étranger était primordiale ; les mœurs et l’églises (« y en avait ben trop des églises» !) pouvaient attendre ! Bien que j’en suis sortie libéré et soulagé que cela n’est jamais redevenu important pour mes parents ; je n’avais pas oublié que mes sœurs elles ; avaient fait du catéchisme et leur communion. Cet événement; sans trop comprendre ce que tout cela représentait, m’avait l’air d’être très important ; toutes belles habiller en blanc avec des fleurs dans les cheveux ! Pourquoi moi je n’en avait pas eu le droit ? Cela m’a hanté pendant mes 7-8 ans ; pensant qu’il me manquait quelque chose en comparaison... j’étais obsédé par l’idée qu’il fallait que je fasse ma communion pour être comme les autres.

Je n’était pas consciente que cela était un cadeau qui m’aiderait vers de profonds questionnements sur moi-même et la vie. Comme je n’avais pas eu d’idée préconçue à travers une éducation religieuse je recherchais des réponses en moi.
Pour compenser ce que je vivais comme un manque j’ai développé une relation amicale avec cet âme d'un homme qu’on appelait Jésus Christ. Quelqu’un, il me semblais;  que les gens avait pas mal d’estime pour…et puis c’était un homme et non un Dieu mystique dont je ne m’identifier point. Tout les soirs je faisais ma prière comme ma sœur m’avait appris et j’avais une discussion avec Jésus qui jouait le rôle de confident. C’était un bon exercice d’expression pour mieux me ressentir ; et pour m’entendre.

Dans mon adolescence j'ai participé aux pâques Orthodoxe ; un rituel qui m’a aidé à conscientiser ce que signifie Pâques dans le monde. Le vendredi Pâque ils reconstituent la mort de Jésus Christ avec une procession et une messe; le samedi soir ils célébrent la renaissance de Jésus Christ à partir de minuit après une messe ; à quel moment tout le monde se dit "Christos Anesti"... « le Christ est ressuscité ! » et allume une chandelle qu’ils ramènent à la maison pour représenter la lumière de Jésus Christ. Comme je choisissais cette expérience plutôt qu’elle soit inculqué et enforci ; j’en ai beaucoup bénéficié.

J’ai passé une partie de ma vie à croire que ce qui était inscrit dans un livre ; incluant une bible ; que ce qui était enseigner et dicté par ceux en autorité; devait être vrai. Ça m’a pris du temps à comprendre que c’était la vérité de quelqu’un surement et pas nécessairement la mienne !….Avec le temps j’ai appris à croire en moi plus que tout autre expérience écrite ou non…de croire en mon expérience…mon vécu comme le plus réel…le plus vrai de tout, pour moi.

Aujourd’hui je vois Jésus Christ comme un simple homme dont on à projeté tout le sort de notre humanité ; et dont nous avons donné la responsabilité de nous en libérer. Je vois JC comme un homme mal dans sa peau qui a prit sur ses épaules tout le sort de l’humanité parce que lui aussi comme nous, à projeté son propre sort. Il a prit responsabilité de ce qu’il ne lui appartenait pas. Je te libère JC de toute responsabilité sur ma propre vie…j’en suis responsable entièrement ; complètement : du bon et du mauvais….RIP…prends soin de toi maintenant…

Superwoman I am!

I just woke up to the fact that I am superwoman!!! At 17 I flew out of my second floor window with a blanket around me...(a security blanket or was it a cape??) and landed on my feet.....I thought it was an act of trying to self mutilate to get attention; tho I did not get hurt...It was actually an act of trying to tell myself: "JUMP you ain't gonna get hurt!!"...In otherwords growing up isn't going to kill you...

Wednesday 6 April 2011

Qui suis-je? Qui suis-je Culturellement?

Je réalise que pendant longtemps j'ai eu honte du mélange de mon identité culturel ou plutôt de mon non identité culturel...de ne pas me sentir 100% pure laine....ni française de France....ni québécoise...de ne pas appartenir ni de pouvoir m’identifier complètement à un groupe culturel spécifique.

Mes parents déjà en tant que Pied Noirs (français vivant en Afrique du Nord) se sentaient différent des français quand ils vivaient en France après la guerre d'Algérie...En tant qu'immigrant au Canada dans le Québec nous étions encore plus étranger parlant une langue qui s'appelle du même nom que nous ne comprenons pas et dont les citoyens québécois n'arrivaient pas à nous comprendre...ceci en 1970...l'oreille des deux bords n'était pas encore accoutumé....

Nous avons, mes sœurs et moi, était plongé dans un monde anglophone avec la bonne intention qu'on devienne bilingue...Ce qui a bien marché...même trop...Je me suis caché comme un cameléon dans un monde anglophone parmi d'autre enfants d'immigrants pour ne pas trop ressentir ma différence..

Bien que j'étais toujours celle qui était différente...Au secondaire j'étais la seule française dans une école anglophone parmi une gang d’amis grecs.....Première relation qui à duré 14 ans avec qui je me suis marié était avec un fils d'immigrants grec. Après notre divorce j’ai eu une relation de 7 ans avec un panaméen ; une autre bifurcation (ironiquement) pour ne pas sentir ma différence, pour finalement finir ma vie avec un bon québécois pure laine....Un québécois avec l'esprit et l'expérience de vie très large. Comme moi il a aussi courtisé un monde anglophone dans son travail de la GRC et en missions 2 fois avec des policiers du monde entiers. Depuis qu’on est ensemble et qu’on vit près de Sutton je me suis rapproché plus intimement du monde réel francophone du Québec ; un monde que j’ai évité pendant longtemps qui m’aide à faire face à mes défaillance perçu dans mon identité francophone….

Depuis j’ai découvert la richesse de la culture québécoise dont je me suis privé pendant trop longtemps. Dans ma perception ; et peut être c'est une projection, ça m’a l’air que cela est arrivé en même temps qu’une maturité et réel fierté d’identité québécoise c’est développé dans le pays. Ce n’était plus les cries d’adolescents se croyant non valable d’avoir leur place et leur droit d’exister dans une société et pays où ils se sentaient minoritaire….que j’entendais….que j’entend de plus en plus fort…c’est une fierté de la différence qui est valorisé et plus définis justement par le fait de vivre parmi un peuple qui aide à démarquer cette différence plus fortement…que par exemple dans un pays où tout le monde est plus où moins homologue. Ce raprochement me raproche de mes racines française, la langue et la culture. Je regarde, j'écoute, je lis, je pense et je m'exprime plus en français, ce qui n'était pas le cas pendant longtemps.

En parallèle je viens tout juste à 47 presque 48 ans, de faire face au fait que mon père avait 1/4 de sang Italien....autant de sang Espagnol que d'Italien...Dans la famille on mentionnait surtout le côté Espagnol...comme si l'Italien était moins valable...moins présent. Mon arrière grand-mère paternel était 100% Italienne (bien qu'elle soit née à Malte)....et mon arrière grand père; le père de ma grand mère paternel était 100% Espagnol...et le reste étaient des Français...du côté de ma mère une arrière grand-mère Espagnol aussi...alors oui une petite concentration de plus Espagnole qu’Italienne…pas assez quand même pour ignorer à ce point le fait que j’ai une linier d’ancêtre Italien !

Ceci ne change pas grand-chose dans ma vie, à part de m’aider à valoriser et réclamer tout les morceaux de qui je suis ; au lieu de les niers et mettre de côté…

Quelle est mon identité? Qui suis-je culturellement? Je suis née en France ; de parents français née en Algérie avec quelques ancêtre espagnols et italiens, immigrante avec double citoyenneté ; Canadienne et Française, très fiers de vivre au Québec depuis l'age de 7 ans ! Une citoyenne de la terre bien épicé !

Tuesday 15 February 2011

Things That Irritate me Part I : The Illusions of Men and Women as Victims of One Another

This collective colluding between men and women that women are weak and men are strong: that women are victims and men are prepertrators....it really does not benifit either sex...Men become victims of women pointing the finger at them; (usually behind their backs)  making them responsible for every wrong that happens between them and women are perpetual victims of men who do them wrong....

As a result women and men don't have an opportunity to take responsibility for how they create to be victims; or perpetrators; for for their inner monsters they instead project and blame the other for all that goes wrong in their lives...For women : for all the restrictions...and oppressions...They men are  assholes....they are what prevents them from doing what they want...they are the ones that hurt them...they are the ones that keep them small and stupid......because they supposedly are the stronger ones...the ones with the power over our lives; ...and to keep them strong and make them feel like men we gotta keep acting like we are weak....and if we are weak we need strong men to protect us and take care of us! Men have to keep acting tough, strong and mean to protect the women.....And so the vicious circle goes on and on...

This is what I want to say to me the victim...the girl...the woman whose played that game:
OWN UP TO IT GIRL!!! You are the creator of your life and whatever you have attracted and created YOU ARE RESPONSIBLE FOR!! Not your daddy....Sure you have been influenced by your upbringing...your DNA...sure you bought into some of the lies that your momma was pure, loving generous and good to everyone and your dad was mean, strict, an asshole, unloving and a miser.... Yet your dad was very involved in his family's well being....constantly worried about everyone's health...sure he was a fucken pain in the ass as he imposed everything...you had no choice; it was his way or he nagged you to death....hwv you played that game...you went along...you all did. He put a lot of effort into going out of his way to buy organic groceries in the only health food store in Montreal at the time.... far away from where you lived....for the welfare and wellbeing of his family....he made you exercise...go out and get fresh air...spend weekends as a family in nature....on hikes, in the mountains, by the sea...oh poor you, you were forced to ski, sail and snorkel....swim in deep open waters...boot camp à la Club Med...too many family vacations, and family time...you needed an ogre to tone down the fun some...I feel like such an ingrate sometimes thinking about all the efforts he put into trying to give us the best he could; yet because he too did not feel deserving of his family who loved him and all the time we had together he created like us to keep a distance by being a sargent major...to play down the pleasure a few notches...

Yes, I admit it he was very involved; maybe more than most fathers; in our nutrition; physical health from which he believed all wellbeing stemmed from.. Of course we wished he just get out of our faces because his fear of failure through all the pressure to be all powerful; protective; all knowing and strong for a gang of 4 females....plus his feeling unworthy and wrong as a man, as a father; created big time fears...and as a result to be in control and controlling. His pain of failing badly while trying so hard was too painful to watch; to be a part of....The reason we felt freer when he was not around....less tension; more fun...and dito for him as well...the pressure and tension must have been grueling for him to play this impossible role around us......Is this what kept the illusions of our: my mother, two sisters and I.....being victims of him..of being prisoners within his rule?... An illusion we kept alive well into adulthood; a time where he had no say in any of our decisions ...yet when we screwed up...when life was tough; when we felt powerless we cursed Him!! The God of our misery. Bringing this into our relationships....we perpetuated not taking responsibility for our own pain....and powerlessness of not being able to stop the vicious spiral of pain....where each one feels like they fail to make the other happy.

I hate the fact that it took me sooo long to take responsible for all the wrong doings in my life...that my pain of feeling so responsible; so wrong kept me from taking apart what I was responsible for and what I wasn't.... I hate that my taking so much responsibility for my father's pain and failure kept me at such a distance from him...and he of me...My father lived several very lonely years in isolation; living alone and disconnected from his family not being able to bear his own judgment of failure as a dad... He now lives across the ocean in France with a lovely companion. They share their lives caring for one another; she nurturing and caring for him through Parkinson's and all of its treasures and he with providing her a role which gives her a sense of worth and purpose. She too had lived alone for many years; like him feeling too responsible for others pain; protecting herself in isolation.

Have you noticed that the all powerful religious God which supposedly watches over our welfare and is responsible for all takes place in our lives...is male?

Well the God in my life is called Marie-Noëlle and she is responsible for all good and evil in my world that affects me.....she is the one that creates every iota of life in my universe...every thing I see and experience is a projection of her......of her inner world...her inner stirrings...of her beliefs...conscious and unconscious. I can not separate myself from anything that is in that universe...it is a part of who I am. I am both male and female....living in a female body having a female experience.

My father's authoritarian pain in the ass side was a projection of a part of me; the restrictive, controlling pain in the ass I am to me...the part that tells me all the time what I should or should not do and how to do it to be safe...with lots of limits, restrictions, inhibitions and judgments.....He is also the part of me that uses anger; aggression, verbal attacks, my ugliness and meanness to protect myself when I am feeling very vulnerable and scared and don't know how to protect myself in any other way....when I can't be with the judgment of my being weak and vulnerable ....

My mother is the part of me that has used being nice; nurturing, friendly in order to be safe...be nice to others ...be good and you won't be harmed....well in theory...however it doesn't stop you from hurting yourself now does it?! She is also the part of me that played the saint; who looked and acted morrally superior next to the immoral, unfaithful husbands we were married to... My mother was an extremely strong, loving, generous, woman with lots of character and charisma that could blow a tank apart! Yet around my father at times she played the role of a docile submissive wife...who acted like he was the one in charge; the one with the power; the strength and who made all the decisions including what we ate.....until she blew her top every couple of years..after having swallowed, pushed down far too long how she really felt...then you knew.....you saw...the monster...the strength...the power...and no one could get in the way of that! It was like we all pretended that my father was the meanest and baddest and strongest...and that we were afraid of him; just so he could feel like a man...because he so often did not feel man enough; strong enough....big enough...it was our way of loving him and he loved us back by being the scapegoat for all of our misery and by making my mother way more good, loving, positive and angel like by comparison. She thanks to him could do no wrong...he was and took all the blame...

To go further in my taking responsibility of the perpetrator/male inside myself...The rapists, criminals, murderers, madmen, dictators, oppressors are all me....as I have been all those things inside myself....oppressing parts of myself....dictating how to be or not to be...censoring who I am.....murdering, stealing, raping parts of myself I felt were unworthy to be seen or heard...Put all those oppressed parts together in an obscure confined cell within your unconscious and you have a madman wanting to explode! It seems that whenever I resist the truth of my ugliness; my fear; my weakness...this madman starts to shake inside me!

What irritates me really is my inability at times to take responsibility for what I create and when I get stuck at pointing the finger at the other....men, women whomever...Finally I am a victim of myself....and no one else.



Friday 28 January 2011

What Kind of Mother Leaves her Daughter? A Bad Mother? A Loving Mother?

Today I face more clearly the fact that I am not a part of my daughter’s life...her daily life since she was 17. Yes I am part of her life in the sense that we talk, share, see each other sporadically when the opportunity arises. However I am not the kind of mother I thought I was going to be, implicated directly and profoundly in her everyday life. I use to be....I use to be the biggest part of her life and she of mine...I was a doting mother...an obsessive mother....like all mothers my being a mother was the most important thing in my life: I was dependent on my role as a mother. It was a huge part of my identity. Being Jenica’s mother defined me and every moment and every thought of my day. From the time she was born I hardly left her side....never had her baby sat, left her a few times with her dad and with my sister not more than once or twice, until she was 3. Just before her 3rd birthday I left for 3 months to France with her, where I had her all to myself for the whole time. I left to stay with my family in France after I found out that I was living a lie with her father; believing we were a solid and united family; when in truth we had been falling apart and he had been seeing another woman for 3 years.

Upon our return after trying to make things work and overcome the tragedy of the reality of what was, it became clear that we did not have what it took to repair the lost trust and broken hearts. From that moment on I lived a life which took an abrupt turn in a direction that was hugely difficult for me; one where I would forever be separated from my baby part of her life. It feels so unfair at this moment to realize that I had to make that passage at such a premature moment of both our mother daughter relationship. I was robbed of a normal motherhood when my daughter was only 3 yrs old. She was robbed of a normal life with a mother by her side constantly at the age of 3!!! It was either she had both her parents 50% of the time or lost one of them all the time or most of the time. Neither one of us was ready to back down from being a parent. For the longest time I thought it was in my power to choose; that any court of law would have handed me my daughter; because of her father’s actions and behaviours that led to the family break up. In reality we are and were all the creators of our lives; we all had equal power in choosing what took place...Jenica chose a life divided between two equal parents and so did we.

I have been judging myself harshly for having gone from such an obsessive mother to one who leaves her daughter; to let her go live her life with another family; her family with her dad, sister and step mother. I am aware this morning how it was gradual and how we were prepared many years ahead. We were separated when she was 3 not when she was 17. We learned to live apart part from the get go. We learned to have a life separate from one another; with some areas of our lives where the other does not participate in. Regardless of our separation so many years ago; I gave my motherhood the largest part of importance in my life. Even though I had time to myself, weekends, studies, jobs, friends, boyfriends, travel apart from Jenica; Jenica was so enmeshed into my existence that looking back I can’t feel where it is we were separated. It is confusing. How could I have lived a life separate from her; as an individual and feel so connected; so a part of her? I projected myself so much in her....I think it probably saved both our lives that we did have time apart....I was too obsessive...too enthralled with her existence... I think we both needed the breathing room. I judge myself so much to be overbearing ....was it because of our separate lives? Did the fact that we were separate part of the time make me more obsessive and more overbearing to make up for the loss time? Am I still doing that? I am constantly torn between the fear of not being there enough for her and of being too much in her face......I have let go so much; I give her so much breathing room...I give us, I,  so much more breathing room.....sometimes I am afraid it is too much.... I am constantly afraid I am losing her...that I have lost her...because I constantly keep letting go of my dependence....my need...to be important to her; for her to be more important to me...than I am to myself.....

It makes no sense to me that I am able to live my life away from Jenica; 160 km away; with no part in her daily activities except by following her schedule; her life through facebook; sending texts, messages, and talking to her almost daily. True; I never let her forget I exist... that I am interested in her; in her life; in how she feels; what she needs. Yet we live separate lives. I live a life where she hardly has any participation in; except when she visits which is occasional. She lives a life where I have no place in except in her sharing of it. Which is also a normal part of her being 20; when I lived with my mom at 20 I hardly ever saw her; I was not part of her daily activities much either.... 

Somehow I still feel so connected so tied to her and I ask myself if I am lying to myself? Am I not facing that I no longer have the same importance in her life; that I am not a part of her life? In those moments I fear I am just a memory....a part of her past. Yes it’s true; I no longer have the same importance....to a child, a mother or parent, especially to an only child: is everything, it is their whole world and to that parent that child is what the world revolves around. So we both don’t have the same importance in each other’s lives as we use to; we live a more varied; open; healthy life with many people in it; with many options of experiences besides each other. It must be part of any parent child normal process of growing up...moving on....evolving. It doesn’t mean we no longer are important to each other. Jenica is open to me; she shares herself with me; reaches out when she wants, can. She shares things with me; she can not with others, just like I am sure she shares some things with her friends, step mother, she can't share with me. We are very open to one another and are open to express our truths with one another; including frustration and anger.

Yes she lives in someone else home than mine; with another mother figure; although I think her step mom more like a sibbling, friend than a parental figure eventhough she is her sister's mother. They share more of their daily lives together than we do and sure that threatens the insecure parts of me that fear; being replaced; the parts of me that fear being invaluable as a mother; obsolete. No one replaces a mother especially not the kind I have been; they can only enhance; add, complete but never replace. Amen to that! 

Sunday 2 January 2011

31 décembre 2010 Journée Saignante de Vie

Je me rappellerais de cette dernière journée de 2010 comme étant une journée saignante.....moi qui a très hâte à la ménopause...je pourrais apprécier le fait que je suis encore jeune...à 47 ans si régulière comme une adolescente; qui sais, j'aurais pu être une maman combien de fois?? Bien que j'apprécie énormément l'expérience unique de l'avoir été dans cette vie; et combien cette expérience m'a enrichie...malgré tous mes rêves de l'être mainte fois. Je me demande pourquoi continuer dans ce trajet mensuelle d'espoir pour des ovules qui ne connaîtrons rien d'autre qu'un voyage dans l'obscurité qui se termine sans cesse dans une éjection ou absorption totale.Tout ce potentiel de fécondité jamais enfanté ! 


Comme mes ovules je me demande si toutes mes idées et attentes fécondes qui non jamais étaient enfanté non pas été une perte totale....des échecs continuelle…chaque désir nullement réalisé seulement espéré. Ou est ce que c'étaient des expressions nécessaire pour le trajet d'une vie qui ma mené jusqu’ici ?


 Par exemple étant jeune je pensais que d'être une mère était le meilleur des privilèges; je rêvais de l'être plusieurs fois, adorant les enfants et voulant multiplier l'opportunité de jouer un rôle important et valable qui me mettrais en valeur et en demande. Je l'ai fait en unicité et pour mes attentes et celle de la société cela est un échec...sauf que la réalité est que cela ma bien servie. J'ai pu me concentrer; apprécier et être très présente à cette expérience d'être une maman; à ma fille...comme j'aime l'être et n'aurais pas pu si mon attention aurait été divisé. Je suis passionné et intense dans toutes mes expériences, j'aurais était épuisé émotionnellement me connaissant. Déjà entre mari et fille cela était un défi qui a mal tourné: j'ai choisi ma fille et lui son travail et une maîtresse ou deux. Encore un échec dans mes attentes et celle de ma société ; je me suis rajouté aux statistiques de divorcé! Sauf qu'encore une fois cela ma bien servie... le bien fait d'être une mère et un individu d'une façon que je n'aurais jamais connu restant marié. Pendant que ma fille chérie passait des moments attentionné et agréable avec son papa j'avais la liberté de me définir et découvrir en dehors du rôle traditionnelle de mère et femme marié. J'ai pu m'assumer, et m’amuser, avec des copines partir des weekends en "no where' fabuleux, danser, jouer, retourner aux études, partir en voyage avec et sans ma fille, toutes des activités dont je ne m'aurais donné droit dans le cadre de femme marié. En plus j'ai pu tester le chantier d'une vie célibataire à un âge plus mature et plus libre que dans mon adolescence; bien que mes jugements et la moralité dont je m'imposais mon toujours gardé un peu trop pincé! Je me juge de ne pas avoir pu valser plus loins en dehors de mes contraintes mais probablement des regrets plus vivable pour moi que ceux dont j'avais peur de créer.  


Ce trajet n'était pas si surprenant avec la réalisation que j'ai perçu ma mère comme étant malheureuse, esclave, emprisonné dans son rôle de femme marié avec mon père et de mère de trois enfants. Avec sa famille je la sentais coincé comparé à comment elle était réjouissante, éblouissante et heureuse loin du foyer; avec amies, étrangers, même au travail avec ses élèves et collègues ayant eu le privilège d'être étudiante dans l'école où elle enseignait. J'ai même était dans sa classe puisqu'elle était le seule prof du sujet. Je sentais souvent l'inconfort que je ne comprenais pas: celui d'avoir l'impression que mon existence empiétait sur sa liberté. Faut dire que moi aussi je me sentais toujours plus libre loin de ma famille; je me suis souvent étouffé avec le poids de me sentir responsable de leur bonheur et de le malheur. Je crois que cela fait partie de l'expérience de venir au monde dans une famille...apprendre à respirer.....


Malgré l'apparence d’échec en tant que mère divorcé, j'ai créer une vie plus façonné à mon égard ayant pu avoir ma fille à moi seule souvent...de l'apprécier et de la manquer. Une vie assez équilibré, amour, famille, travail, plaisir. Le plaisir de la vie m'a toujours été très important prenant la vie trop au sérieux...

mes responsabilités trop à cœur...parce que je vie mes émotions profondément...le besoin de légèreté, de bienfait et de jouissance me sont accrue.  J'ai crée de vivre à fond ma maternité bien qu'aussi toutes mes relations. J'ai fait beaucoup d'études, d'approfondissement de connaissance et puissé dans la conscience sur l'être humain; sur les émotions; m'utilisant comme mon cobaye principal. Je me suis longtemps demandé pourquoi ce dont je croyais être le plus important pour me prendre en charge était le moindre dans ma vie: ma carrière. Certes il a eu un temps où j'y travaillais et mettait beaucoup d'énergie avec l'idée que c'était pour me faire vivre en vivant ma passion d'aider les autres et de changer le monde. C'est clair aujourd’hui que c'était une préparation pour découvrir les outils pour m'enrichir et m'épanouir intérieurement pour apprendre à bien vivre avec ou sans richesse matériel.  

 Je me suis sentie terriblement coupable d'avoir investie tellement de temps, d'énergie, et d'argent ou plutôt d'avoir sacrifié tant d'argent ne travaillant pas plus dans un domaine qui m'aurais fait grand profit financièrement...misant plutôt sur la richesse intérieure. Échec ou échec et mat?? C'est une question de perspective.....Je n'ai pas d'argent...pas d'acquisition matériel, pas de salaire, pas de pension... tout ce que j'ai est moi....beaucoup plus que je n'aurais pu imaginé ni espérer...un moi indestructible, avec des ressources indéniable de survie à tout moment...un moi qui à crée une relation indestructible avec moi même. Suis-je pauvre ou riche? Je me sens plus souvent vivre une telle abondance de vie que cela me fais peur.....peur de la simplicité...Pourquoi avoir passez toute une vie à rendre les choses si compliqué à l'exterieur de moi?

En résumant j'avais crée beaucoup d'attentes de crée une vie "normale" et "parfaite"; mariage, famille, carrière réussite, et pleins d'acquis. J'ai passé beaucoup de temps et d'énergie à fécondé et travaillé ces idéaux que je pensais crée....en finale...je n'ai rien de tout ce que j’espérais dans le temps que je le désirais. J'ai beaucoup de vécu, d’expérience de vie riche et profonde, incluant avec ma fille que j'adore, un partenaire de vie qui me va à merveille m'encourageant dans qui je suis tout en vivant ensemble une vie simple et paisible. En plus du reste de ma famille éparpillé dans le monde que j'aime beaucoup et toutes les personnes qui touche ma vie pour un moment ou à tout les jours. 


Le sang symbolique du courant de la vie qui me faisait tomber dans les pommes auparavant; je peux maintenant le regarder couler et l'apprécier plus que jamais. Je n'ai pas encore terminé d'être rappeler à la source à chaque mois; au moins encore quelques années.  Je vie ces derniers temps mes menstruations comme une perception de recréation mensuelle d'échec. Un trajet ovulaire symbolique ; plein d'espoir de fécondité qui ne sera jamais engendré à travers la perception de conception et de programmation....si non ce n'est qu'un rythme lunaire comme la marée.... de flux et de reflux. « Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme...


 En cherchant cette citation pour être sure de bien la cité;  je suis tombé sur cette phrase du Petit Prince: ... "Le renard se tut et regarda longtemps le petit prince: ... C'est le temps que tu as perdu pour ta rose qui fait ta rose si importante." 
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