La Semance de la Petite Fée

Il était une fois une petite fée aux ailles argentés qui vivait dans une belle forêt très riche en végétation ou le climat permettait de pousser les plus belles plantes. Cette fée vivait une réalité surréelle pleine de beauté, de lumière et de plénitude. Dans cette forêt enchanté vivait des milliers de fées et de créatures chacune unique dans son individualité. Quand la fée aux ailles argentés en avait envie elle n’avait qu’a penser à une compagne de la forêt et une de ces créatures lui apparaissait. Ensemble elles passaient du temps à découvrir une nouvelle expérience dans cette forêt infiniment profonde en possibilité. Chaque découverte l’aidait à ressentir et découvrir une nouvelle partie de son être dont elle n’était pas consciente qui faisait partie de qui elle était. Ça vie était un chemin remplie de défis et d’aventure qui la menait à un trésor dont elle n’avait aucune indice quelle direction elle allait prendre jusqu’au moment précis. Un beau jour elle rencontra sur son chemin une petite fille qui avait l’air d’être une fée sans aille; puisque pour elle tout ce qui existait dans cette forme avait des ailles. La petite fille avait l’air très triste- même il semblait que des gouttelettes de pluies lui tombaient des yeux. La fée lui demanda si elle voulait découvrir avec elle une chute d’eau dont elle avait entendue parler mais jamais vu. La petite fille la regarda toute surprise et lui dit « mais tu ne sais même pas qui je suis? Comment veux tu que je vienne avec toi quand nous nous ne connaissons pas? » La fée ne comprenait pas cette question étrange? « Que veux-tu dires? Je ne connais pas la plupart des fées dans cette forêt on se découvre ensemble; des fois il y a des fées que je ne revois plus jamais; mais le souvenir de notre expérience ensemble vibre en moi-exactement comme le moment ou je l’ai vécu et nous sommes à jamais lié. Est-ce important pour toi que nous nous avons déjà connu ou vue?? » « Mmmh… » La jeune fille réfléchi. « Non pas vraiment seulement d’où je viens il me semble que tout le monde est très préoccupé de connaître, la personne, le lieu et l’expérience du moment avant de l’expérimenter. Je crois que c’est une façon d’apaiser les peurs. Les peurs de ne pas être capable d’être avec une expérience inconnue; comme si il nous manquait des capacités- des facultés de composer avec tous ce que notre vie nous propose. Maintenant que j’y pense c’est comme si à tout instant on décide que nous ne sommes pas assez : pas assez fort; pas assez capable; pas assez puissant; pas dans notre pleine capacité d’être avec ce qui peut possiblement nous arriver. C’est comme si on se faisait tout petit; on se met à quatre pates, toujours entrain de regarder autour de nous en méfiance et en essayant de se cacher derrière toute semblance de chose plus forte; plus puissante; plus capable; de se qui nous croyons être. Pas une seconde est ce que nous nous pesons la question : Et si nous étions tous pareille? Tous aussi petit et aussi grand à l’intérieur. Aussi faible et aussi fort? Nous cacherons nous tous ainsi autant? » La petite fée émerveillé de découvrir un monde si différent du sien eu presque l’envie de le visiter! Elle voulait savoir comment cette expérience si l’opposé de la sienne pouvait donc être? Juste a ce moment la jeune fille se met à faire des bruits étranges et l’eau coula très fortement de ses yeux pendant qu’elle renifla et s’essuya les yeux comme si de rien n’était. « Que se passe-t-il? » Demanda la petite fée. « Je me libère de toute cette lourdeur d’existence- je pleure ma peine d’avoir oublié qui j’étais. Mon cœur se libère de la couche de roche incrusté de mon oublie- mon âme se libère avec joie de la noirceur d’où mon souvenir lointain de la vérité se cachait. Pour m’aider à découvrir qui je suis en l’oubliant; en le cachant librement de mon conscient je peux maintenant vivre de plein feu l’existence entière de qui je suis : avoir eu l’expérience de qui je n’étais pas. Tout d’un coup la jeune fille se mis en boule à terre dans la belle mousse verte onctueuse; elle se lamenta en se tordant à droite et a gauche- son corps s’agita comme une feuille dans le vent; il se contorsionnait comme si il expulsait et rejetait des éléments à une composition non compatible sortant de toutes ses pores et orifices de toutes les couleurs. Soudainement son petit corps devenu stable- elle prit un grand respire et puis plus rien. Pendant quelques secondes la fée aux yeux grand ouverts vola dessus la jeune fille faisant des cercle affolé et puis la jeune fille se mit à gémir les yeux toujours fermé. Elle se mit en une petite boule toute ronde pendant que quelque chose apparu dans ses omoplates. Comme deux tiges feuillu cela poussa très vite en ailles magnifiques de couleur bleu et vertes métalliques en dessins de dentelles les plus délicates. La jeune fille soupira et s’endormi dans un sommeil profond avec un grand sourire au lèvres. Pendant les 12 heures qui suivent la petite fée resta aux alentours chantant doucement si contente de sa nouvelle découverte qui avait réveillé en elle une nouvelle appréciation de son existence.